samedi 11 octobre 2008

La librairie de l'enfer

Aujourd'hui, je vais vous parler du diable, de mon Belzébuth à moi. Oui vous l'avez deviné, aujourd'hui, je vais vous parler de... St. Mark's Bookshop*.

Imaginez : vous allez à St. Mark's manger des ramens. Jusque-là, que du très normal. Et puis vous vous dites "oh tiens, une librairie". Et pourtant vous vous êtes déjà fait avoir cinquante fois. Mais non, rien à faire. Vous rentrez. Et alors que vous avez déjà le livre de Suze Rotolo**, un Beigbeder et un bouquin sur les Basement Tapes de Dylan à lire; vous rajoutez The Delivery Man (d'après Brett Easton Ellis, c'est très très bien) et un livre de Fante (ça c'est à cause de Damien R.) à votre liste.

Je suis faible.
Remarquez, comme ma XBOX est cassée, ça me donnera de quoi m'occuper.
Non parce que vous pensez bien que si elle fonctionnait, je serais en train de jouer à Rock Band 2 plutôt que d'écrire des trucs sans intérêt sur ce blog que personne ne lit...

Bon allez, c'est pas tout ça, il faut que j'aille faire de la vaisselle.

* Pour éviter tout de suite toute confusion, je tiens à rappeler qu'en anglais, un "bookshop" c'est une "librairie" et une "library" c'est une "bibliothèque". Oui, les anglo-saxons sont tordus. Preuve définitive que ce n'est pas parce qu'on joue du saxophone qu'on est cool.
** Si vous ne savez pas qui est Suze Rotolo et que vous vous demandez quel intérêt je peux bien trouver à son livre, sachez que c'est la fille sur cette photo. Vous comprenez mieux là ?