Plante un clou, deviens un homme

Alors des nouvelles.

- Je suis allé chez mon nouveau coiffeur préféré. Son nom ? Nicolas. Oui, en France, les Nicolas servent du vin, ici ils coiffent. La coupe est un poil rustique, mais à sa décharge, je tiens à préciser qu'il n'a coupé que dans le cou et que j'ai fait le reste tout seul. Et puis il a de gros avantages : pour aller chez lui, je n'ai qu'à monter sept étages, il sait parler d'autre chose que de la météo, il ne prend pas trop cher et surtout il offre la bière.


- Vous aussi vous trouviez que mon appartement n'était pas assez éclairé ? Bonne nouvelle, je vous présente Zubert. Maintenant c'est tellement lumineux chez moi que j'ai mal aux yeux (bon ok pas vraiment, mais tout de même, ça va mieux).


- Je sais, ça peut vous sembler fou, mais j'ai commencé la déco. Pour ça, j'ai eu une idée bien débile mais c'est normal elle vient de moi : et si j'accrochais des vinyles au mur ? J'ai acheté quatre cadres. Je n'ai pour l'instant pas assez de disques pour les remplir, mais j'en ai déjà accroché un (je compte accrocher le deuxième dès que j'ai trouvé un mètre, histoire que tout soit bien aligné). Et j'ai prévu de faire le tour des disquaires de NY à la recherche de Blonde On Blonde et de Tommy. J'y crois pas trop, mais c'est sûr que si je trouve un vinyl du Triggers d'April March ou de n'importe quel A.S Dragon, il finira aussi sur mes murs.
Voilà une petite photo du premier méfait. J'ai caché l'auteur. Le premier qui reconnaît le disque (sans rentrer dans mon appart) gagne une bière. Ouais, une bière. Sur NY, ou sur Paris, au choix. Et surtout, il gagne toute mon estime parce que, dans la mesure où le vinyl n'a pas la même pochette que le CD, ça va être sacrement difficile.


- Dernier point : il va falloir que je me trouve une bibliothèque. Ou alors que j'arrête de lire parce que là c'est vraiment vraiment plus possible.

Je t'embrasse.